Ils devaient être des milliers à se retrouver privés d’Internet à cause du cheval de Troie DNS Changer. Comme on pouvait s’y attendre, la grande catastrophe ne s’est pas produite.
Rien de tel pour créer l’évènement dans le domaine de la sécurité qu’un ultimatum. Et c’est ce qui s’est passé avec le cheval de Troie DNSChanger qui menaçait le 9 juillet de priver des milliers de personnes de leur accès à Internet.
Cette échéance est derrière nous… et finalement il ne s’est pas passé grand-chose, et ce de manière inversement proportionnelle au battage médiatique des derniers jours ayant précédé le 9 juillet.
D’après des FAI américains (pays où le plus d’infections par DNSChanger étaient recensées), interrogés par Msnbc, seul un nombre très minime d’abonnés ont appelé pour une coupure d’accès Internet résultant du cheval de Troie.
Comcast parle d’un « nombre minuscule d’appels », AT&T d’un « très faible impact ». Du côté de Verizon, on déclare n’avoir rien remarqué de « significatif ». L'opérateur ajoute qu’il n’avait pas attendu la date butoir du 9 juillet pour informer et accompagner ses abonnés dans la désinfection de leur ordinateur.
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